Dans une déclaration lourde de conséquences, Néhémie MWILANYA, ex-directeur de cabinet de Joseph KABILA, révèle que pendant 18 ans, le régime de son ancien chef d’État n’a pas mis fin à la guerre… il l’a financée.
Selon lui, l’accord de Sun City aurait ouvert la voie à une stratégie périlleuse : payer les groupes rebelles, brader les ressources nationales, affaiblir l’État. En clair, pour faire taire les armes, le régime aurait troqué des portions de souveraineté contre un semblant de stabilité.
Ce modèle, qualifié aujourd’hui de "capitulation stratégique", contrastait avec l’autorité régalienne que le peuple attendait.
Résultat : une paix fragile, des conflits entretenus, et un Congo affaibli.
Mais la rupture semble engagée. Le président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO s’oppose à cette logique, refusant toute négociation fondée sur le chantage armé. Sa vision : restaurer la paix à travers un État fort, équitable et souverain.
La paix ne se quémande pas, elle s’impose par la justice, la cohésion nationale et la fermeté républicaine.
Rédaction
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