Derrière les éloges internationaux, les tapis rouges et les chiffres contrôlés, le Rwanda de Paul KAGAME cache une réalité sociale alarmante : celle d’une population, surtout rurale, confrontée à une famine silencieuse. Si KIGALI brille, les collines profondes du pays, elles, pleurent.
Faim, pauvreté extrême et dissimulation
Des familles entières vivent dans l’insécurité alimentaire chronique. Des enfants meurent en silence, loin des projecteurs occidentaux qui applaudissent une stabilité construite… sur une illusion. Pendant que le gouvernement communique sur la technologie et l’investissement, la population s’appauvrit et les denrées de base deviennent un luxe.
Un pouvoir plus soucieux de son image que de son peuple
Plutôt que d’investir dans des politiques sociales concrètes, le régime KAGAME préférait exporter ses tensions. L’implication directe du Rwanda dans la déstabilisation de l’Est de la RDC via les rebelles AFC/M23 devient ainsi un outil cynique de diversion : faire oublier la faim chez soi en déclenchant la guerre ailleurs.
Une fuite en avant dangereuse
Ce jeu à double visage, modernité de façade, misère réelle, fragilise le Rwanda de l’intérieur. Car la vraie stabilité ne se mesure pas à la beauté des infrastructures de Kigali, mais à la dignité de chaque citoyen, à sa capacité de manger, de se soigner, de vivre libre.
La paix ne s’exporte pas à coups d’armes, et la prospérité ne se simule pas avec du marketing international. Un État fort commence par nourrir son peuple, pas par affamer ses voisins.
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