Conflit dans l’Est de la RDC : Les ambitions dangereuses et démesurées de l’Homme Fort de KIGALI révélées

 

Le président rwandais Paul KAGAME aurait, selon certaines déclarations, défié les accords signés entre les États-Unis, la RDC et le Rwanda, notamment en s’opposant ouvertement au président américain Donald TRUMP, le 4 décembre 2025.  

Sous prétexte de combattre les FDLR, KAGAME aurait justifié l’intervention du Rwanda en RDC, tout en poursuivant un objectif plus vaste : l’établissement d’un empire régional HIMA, en étendant son influence sur les pays limitrophes tels que l’Angola, la Tanzanie ou encore le Burundi.

Une autre facette de cette ambition concerne l’accès aux minerais stratégiques de la RDC. Certains acteurs rwandais évoquent même une «arme économique» comparable à la menace que représentait Ben Laden pour les États-Unis et l’Union européenne.  

Le Rwanda affirmerait avoir infiltré à 30 % les systèmes de sécurité américains à travers des réseaux, y compris via des femmes placées stratégiquement. Selon cette vision, aucun président civil ne serait en mesure de contraindre KAGAME, ancien officier militaire formé aux USA, à retirer ses troupes de RDC.

Celui-ci se vanterait de liens solides avec de hauts gradés américains et d’un savoir-faire militaire supérieur, remettant en cause la capacité d’un dirigeant civil à freiner ses ambitions. Il affirme même avoir défié son ancien mentor, le président YOWERI MUSEVENI, ainsi que la France, à qui il aurait donné 72 heures pour quitter le territoire rwandais.

Plus loin, des noms comme Bill Gates et d'autres personnalités américaines et européennes sont évoqués. Le discours s’enracine dans une idéologie de supériorité tutsi, affirmant une maîtrise du monde supérieure à celle des puissances occidentales. À travers l’exploitation des ressources humaines et minières de la RDC, ces ambitions viseraient un contrôle global stratégique.

Enfin, le Rwanda compterait sur ses alliances, notamment avec des partenaires chinois et des figures comme l'ex-président Joseph KABILA (JKK), pour transformer les richesses congolaises au profit de son influence géopolitique.

Une déclaration troublante et controversée qui interroge sur les véritables enjeux de la région.

Rédaction