RDC : La trahison n’est pas une opinion, c’est un crime d’État

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Quand l'État vacille, c’est souvent parce que la justice recule devant l’essentiel.
En République démocratique du Congo, une dérive préoccupante prend de l’ampleur : chaque fois qu’une personnalité est arrêtée pour des faits graves de trahison, des voix s’élèvent aussitôt pour dénoncer un «acharnement», un « complot politique» ou une «chasse aux sorcières».

Mais posons une question simple : dans quelle démocratie digne de ce nom la trahison est-elle tolérée ?

À travers le monde, livrer les intérêts de son pays à une puissance étrangère, saboter sa souveraineté ou pactiser avec l’ennemi est un crime grave, jugé sans état d’âme.  
Un diplomate arrêté en Russie, un militaire condamné aux États-Unis : partout, l’intérêt supérieur de la nation prime.

Alors pourquoi, en RDC, certains voudraient-ils faire de la trahison une opinion à respecter, voire à défendre ?

La justice congolaise ne doit pas fléchir. La souveraineté nationale ne se négocie pas. Ce n’est pas une affaire d’ethnie, de religion ou d’appartenance politique. C’est une affaire de loyauté envers la patrie.

Un État qui tolère la trahison se condamne lui-même à l’effondrement.
La loi doit s’appliquer, sans peur, sans favoritisme, et sans calculs politiciens.

La RDC doit choisir : être un État fort et respecté, ou un territoire sans règles, livré aux intérêts étrangers et aux trahisons internes.

La République doit se défendre. Et la justice, rester debout.

Rédaction 
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